jeudi 19 février 2009

Les cliques et le clic de la souris

Ce blogue a un mois aujourd'hui. Il compte 13 abonnés officiels et j'ose espérer, quelques visiteurs non identifiés. Ceci est mon dixième texte publié. Je commence à peine à me familiariser avec la blogosphère et ses codes et son vocabulaire. Je viens tout juste de pouvoir expliquer à mon entourage, grâce aux bons conseils d'une amie, la procédure pour devenir membre et inscrire des commentaires sur mon blogue! 
Le fait de publier sur le web me donne une satisfaction: j'exerce mon écriture et j'essaie plus que jamais de me tenir informée afin de tenter de dénicher un sujet qui se veut personnel, original et susceptible d'intéresser mes lecteurs. J'apprends! Et c'est ce qui compte au bout du fil...
J'apprivoise aussi les autres blogues, il y en a une infinité! Là comme ailleurs, il faut être relié à un réseau, développer ses contacts, savoir se vendre et connaître sa niche. Tout est une question de perception, cette fameuse image. 
Aujourd'hui par exemple, Michelle Blanc http//www.michelleblanc.com aborde sur son blogue le sujet de l'avenir des journaux, qui avait été traité déjà par Rue 89 http//rue89.com, le 24 janvier dernier et que j'avais moi-même évoqué dans mon texte intitulé Choix de vie, le 29 janvier. Eh bien son article est répertorié et cité par d'autres blogueurs (je viens de le faire moi-même) de la confrérie québécoise. Pourquoi? Parce qu'elle est une Personnalité  de la blogosphère et que son blogue est propulsé avec les meilleurs moyens technos. On n'en sort pas, la popularité doublée à la notoriété est devenu le passeport universel.
Le web met de l'avant la notion d'ouverture sur le monde. Les uns s'alimentent aux autres et vice-versa. L'information circule ainsi à la grandeur de la planète, encore faut-il pouvoir la trouver! Autrement dit, vous pouvez offrir votre produit dans le plus grand magasin au monde, si vous n'êtes pas dans la vitrine, les acheteurs risquent de passer tout droit. Là-dessus, je m'en vais magasiner!

3 commentaires:

  1. C'est très sympa les cliques et les clics, il suffit souvent d'apprivoiser les clics pour que nos cliques deviennent plus pansues... avec modération qui, ici aussi, a meilleur goût! L'amie en question

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  2. Je pense en effet que la notoriété a un effet d'entraînement. On aime bien confronter nos idées à ceux qui sont payés pour en émettre. Mais ça n'est pas tout. La notoriété peut aussi venir de la qualité des contenus. Il y a plein d'idioties sur le web, mais si on tombe sur une réflexion bien fouillée et bien écrite, peut importe la signature, je m'y intéresserai. Et si cette qualité se maintient chez l'auteur de ce texte, sa notoriété grandira par le bouche à oreille, ou plutôt par le clic qui fera suivre cette réflexion à un autre "cliqueux".

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  3. C'est indiscutable que le web donne aisément accès à une foule de données qu'il fallait jadis chercher longuement dans des dictionnaires, encyclopédies et autres ouvrages souvent peu accessibles. Mais est-on certain que "l'information circule ainsi à la grandeur de la planète"? Information véritable, vérifiée, bien documentée ou surtout plutôt commentaires ragots, potins, rumeurs, propagande, légendes urbaines?

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